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peintures

Les auto-portraits

Ce travail du miroir a permis de se transporter entre le pinceau et le regard, renvoyé par cette glace.

Ainsi, l’endroit et l’envers, sans jugement, a permis une drôle de cohabitation, mais nécessaire au cheminement.

De peindre entre le songe et la réalité, a ouvert les portes d’un vaste voyage, avec des aller retours entre présent et passé.

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Les portraits

Ces visages énigmatiques me rappellent cette renaissance, période d’humanisme, de couleurs, de

beauté, d’amour, tel un écrin chatoyant surgissant des ténèbres.

Malgré la nuit et l’obscurantisme qui entourent ces femmes et ces hommes, ces portraits se veulent un

hommage à la beauté, à l’âme et à l’esprit.

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Les familiales

Pour mes 40 ans, une photo, à mon retour du Sénégal. Mon arrière-arrière grand-père à Saint Denis en Val, a déclenché une suite de visages très particuliers ; ceux de ma famille et de mes filles.

Un regard transversal évoquant d’autres horizons, d’autres couleurs... Celle de l’enfance.

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Les florales

Appelées ainsi, car les fleurs sont peintes, en toute liberté, dehors, sur le vif.

Les mêmes variétés de fleurs, chaque année, traduisent l’instant de chaque saison.

Elles ont leurs particularités et demandent des attentions différentes afin de traduire ce qu’elles sont.

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Les bouquets de fleurs

Pivoines, tulipes, lilas, dahlias... Subissant des saisons pluvieuses et venteuses, des fleurs qui allaient souffrir, le temps contre la montre, afin de traduire cette magie florale.

Un travail de nuit et de jour afin de peindre ces périodes et d’amener du soleil dans l’atelier.

Ce travail permet aussi de réfléchir sur le rapport du fond et de la forme. Un travail pictural très intense où couleurs et matières se conjuguent avec force et vigueur.

Une volonté inéluctable de décrire tout haut ce que nos coeurs murmurent tout bas.

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Les natures mortes

Au départ, mes natures mortes se voulaient des offrandes à tous les dieux, dédiées à la vie, aux religions et à la mythologie, puis, un hommage aux primitifs italiens, flamands, utilisant le même travail pictural, couche après couche, et cette fenêtre sur l’extérieur.

Actuellement, je peins au service de la réalité sur le vif, le dehors et le dedans, avec une touche plus rapide, dans le frais de la matière, saisons après saisons, fleurs, fruits et légumes de ce grand jardin qu’est la terre.

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Les paysages de Loire

La Loire, son bord, sa rive, ses arbres, tout en délicatesse, au gré de quelques saisons, sauf l’été, s’offre à mon pinceau.

Au début, tout en douceur, tout en amour, puis après m’être apprivoisé à ces paysages, je m’aventure pas à pas, auprès de mon fleuve.

Cette Loire et son autre berge, l’église de Saint Jean, ses maisons cachées au milieu des arbres, murissent les reflets de ma réflexion, autour de couleurs, se fondant au milieu des éléments. Des moments de plénitude où le chevalet devient un mât et la toile une voile.

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Les paysages dionysiens

Pour le val, une même problématique, peindre des habitations qui correspondent à mes attentes.

Une alchimie des ans et des saisons avec l’union de ces paysages, de ces grandes étendues, permettant ce recul.

Ainsi, je plonge mes yeux dans les profondeurs et le lointain afin d’en cerner tous les atouts et les atours et d’en peindre l’émotion.

Une émotion du vif et du vrai avant que l’urbanisation vienne perturber ces horizons : un paradis sur terre.

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Les imaginaires

Alchimie de notre mémoire, transparence de couches picturales, parfois une vision d’une cité en compagnie d’une lumière particulière, découverte à travers les tableaux d’Alexis Hinsberger.

Car, comme vous pouvez le deviner, mon imaginaire s’est construit autour de légendes, de mythes, de religions, afin d’en construire mes fondements, sur un Adam, une Eve, un Eden.

Comme une vision du ciel, qui, de jour en jour, se transforme, afin d’en peindre ses contours, passage

obligatoire de mon parcours, à la fois technique et mental.

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Les géométriques

Un besoin d’acquérir une autre dimension afin d’intégrer au mieux ces formes et d’apprendre que dans la nature, tout est géométrie.

D’atteindre le cosmos et d’y retrouver parfois les migrateurs, ces êtres apatrides et libres.

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Les tribales

Les prémices du savoir pour lesquels j’utilisais le tableau noir, l’écriture d’avant l’écriture, et pour la couleur, le pastel gras.

Symboles et signes s’aventurent en compagnie de quelques arabesques parmi les labyrinthes et la grotte de Platon.

Parfois, à la place du pinceau, des roseaux dévoilent ce chemin.

Ces traces furent les premières, le point de départ de mon chemin pictural, une naissance pour un devenir.

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