sculptures
Les auto-portraits
A la différence de la peinture, ils se veulent plus énigmatiques et simples.
Ils sont à la fois une invitation à un voyage, et gardiens des connaissances passées, présentes et futures.
D’aucuns temps et de tous les règnes, ils sont l’alpha et l’oméga, et les empreintes d’un passage du solstice à l’équinoxe, entre ciel et terre.
Ils nous indiquent le prologue et l’épilogue, et c’est à nous d’en prendre les lignes et les mots de notre vie.
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
Les portraits
Parfois, ils sont un hommage à certains hommes, du moins ce que j’ai pu en percevoir...
Cependant, ces visages, ces portraits, ces clichés de vie accompagnent des moments fugaces et parfois fulgurants de notre réalité.
Ils font partie d’un grand puzzle où chaque jour, on mets une pièce afin d’en découvrir quelque chose, une image, celle de notre vie.
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
Les bas-reliefs
Une manière très agréable de travailler la matière et de découvrir des formes figuratives ou mentales.
Entre peinture et sculpture, en étant ni l’un et ni l’autre, ces bas-reliefs transposent une autre dimension, un autre regard.
De les regarder à nouveau, ils m’inspirent.
Ainsi, dès que possible, je poursuivrai ce chemin, en laissant d’autres traces.
Les couples
Les couples : ils se veulent ce que nous sommes, ce que nous voulons être : une femme, un homme, une Eve, un Adam, originels, ou tout simplement la représentation d’un quotidien.
Sans cris, sans heurts, ils sont prêts à prendre vie, à danser, et à s’aimer.
Ils tendent à devenir l’union du soleil et de la lune, du masculin et du féminin, alchimie de la vie.
Le couple est la genèse de nos cultures, de nos civilisations et de notre futur.
Les féminines
A travers les âges et les saisons, ces sculptures se veulent de tous les âges.
Parfois amantes, mères, vierges, déesses...
Elles essayent d’embrasser toute la féminité.
Ainsi, j’ai pu travailler sur les courbes, les rondeurs, les passages du plein et du vide.
Ce travail inlassable sur la matière et l’esprit, a permis d’aborder des thèmes, aussi bien mythologiques, que de vie et de rêve.
Les féminines se veulent un hymne à la vie, à leur devenir, entre impondérable et inéluctable.
Il était une fois...
Les silhouettes
Ces formes furent et sont magiques.
Elles permettent de voyager entre sacré et sacralité, entre l’éphémère et un soupson d’éternité.
Un équilibre que le travail de la matière peut permettre aux limites du déséquilibre.
Comme la vie parfois, mais toujours ce regard qui se dirige vers le haut.
Ainsi, ces formes, aux limites de la précarité, s’habillent de force et de lumière.
Elle se veulent transfigurer et tendre vers le merveilleux.
Elles nous indiquent un chemin, parfois étroit et sinueux, mais plein de promesses...
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
Les imaginaires
A travers l’histoire, les légendes, les mythes, ces sculptures en sont la quintessence.
Parfois, avec leurs signes, leurs symboles, elles traversent le temps, parcourant ainsi les pierres de nos cathédrales, et les sentiers de nos rêves.
Elles sont à la fois féminines, masculines, force et paix, prière et envol.
Des fois, elles caressent la pierre philosophale, le songe de nos envols.
Toujours en mouvement, elles attrapent nos lacets, pour se joindre à nos pas, à nos désirs...
Les migrateurs
Ils sont l’axe principal de mes recherches, des êtres apatrides, descendant des atlantes...
Ils se veulent des gardiens, garants d’un savoir passé, présent et futur.
Souvent avec des visages altiers, pleins de promesses, ces sculptures suivent une courbe.
Ce mouvement nous entraîne d’est en ouest, nous rappelant nos origines, notre recherche de lumière et notre humilité face aux éléments.
Ils sont le un et le tout, le visible et l’invisible.
Les florales
Les fleurs représentent une partie de la magie de la nature.
Elles annoncent souvent le printemps, la naissance d’un fruit, fragile et éphémère, tandis que ces formes sculpturales traduisent l’éternité.
La nature a été le grand guide de ce travail, à la rencontre des saisons, du soleil et de la pluie, voulant ainsi fixer l’intimité de leur éternité.
Les végétales
Tout d’abord des feuilles descendant d’Atlante qui tournoient afin d’atteindre l’air, la terre, s’échappant des profondeurs marines.
Elles suivent un mouvement elliptique afin de caresser la lumière.
Elles sont source de vie et permettent la naissance d’autres règnes.
Le travail de la terre, cet argile, permet de s’aventurer sur le chemin créatif et d’en traduire l’élévation.
Les musicales
Elles sont à la fois instruments et féminines.
Ce jeu sensuel, entre la matière et l’esprit a permis d’en caresser leur volupté.
Les sujets, violon, violoncelle, lyre, me semblent les plus proches de cette confusion.
Le plein et le vide se conjuguent et se lient de satin afin d’en souligner les courbes.
Musicales et parfois baroques, elle se parent de tous leurs atours.
Les volutes
Ces formes ont quitté l’échiquier.
Elles suivent le fil d’ariane, entre terre et ciel, dans un mouvement ascentionnel.
Elles sont de plusieurs temps, archaïques, mythologiques, moyenâgeuses et même actuelles.
Elles sont le squelette de notre trajectoire, pures et sans tâches, dévêtues et nues.
Leurs forces se situent dans leur élévation et dans leur quête : cette recherche de lumière.
Un combat quotidien où la matière dialogue avec l’esprit.
Les géométriques
Elles sont nées d’un vaste questionnement ; tout dans la nature est géométrique.
Ainsi, toute forme rentre dans un espace. Equerre, compas, fil à plomb, furent les outils qui ont accompagné ces sculptures.
Ces formes ont été utiles afin d’atteindre un autre espace, plus haut : le cosmos et le celeste.
Parfois, des couleurs vives couvrent leurs formes, ainsi que d’autres, plus alchimiques, noires, rouges, blanches.
Tel le phénix qui renaît de ses cendres, elles sont la suite d’un parcours initiatique vers une autre dimension.
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
---|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |